Poésie fêtes des mères

Ma douce Maman

A ma douce Maman,

Belle au rire si charmant.

Dans les bras du printemps,

son regard éclatant

veille au sommeil d'enfants

sous le Soleil couchant.

C'est la Reine cigale

qui le jour nous régale

de parfums oniriques

aux épices d'Afrique.

Elle a la cœur sauvage

d'une Fleur sans rivages.

L'éternelle bonté,

l'Amour plein de fierté

que cache son sourire.

© Michel K

Maman

De toutes les fleurs maman

Tu es la plus jolie

Et dans mon cœur d'enfant

Très fort je te chéri

Pour toute la tendresse

Que tu sais me donner

Ma maman, ma princesse

Je t'offre mille baisers

Je t'offre aussi mon cœur

Plus grand que l'océan

Un royaume de douceur

Rien que pour toi maman.

© Liliane

Si j'étais jardinier

 

Si j'étais jardinier

Je ferais pousser une

Fleur en forme de cœur.

Elle serait pour maman

Qui la garderait longtemps

Car maman saurait que

La fleur c'est tout

L'amour de mon cœur !

 

Maman printemps

 

Maman-printemps

Voilà des baisers blancs

Des baisers bleus,

Des baisers de toutes les couleurs.

Des baisers-pois-de-senteur

Légers, légers, légers...

Des baisers pâquerettes

Tout ébouriffées

Et des baisers-soleil

Avec des cœurs

Grand comme ça

Maman printemps

Voilà tout un bouquet

De baisers-fleurs.

 

 Maman

 

 

Si j’avais des ailes maman

Rapide comme l’hirondelle

Par dessus le toit des maisons

Sans demander la permission

Vite j’irai t’embrasser

Pendant la récréation

Et si pour pour je ne sais quelle raison

 Maman

Je n’étais pas ton petit garçon

 Je désirerais je crois

Une maman comme toi !

 

 

Ton cœur est comme un nid

 

 

Ton cœur est comme un nid

Où je me blottis quand je pleure

Et même quand je ris

Et l'amour que tu me donnes

Chaque jour

Est un soleil

A nul autre pareil

Merci Maman.

 

Mon cœur me dit que c’est ta fête. Je crois toujours mon cœur quand il parle de toi

Maman que faut-il donc que ce cœur te souhaite?

Des trésors? Des honneurs? Des trônes?

Non ma foi! Mais un bonheur égal au mien quand je te vois

Victor Hugo

 

Ô ma mère, ce sont nos mères

Dont les sourires triomphants

Bercent nos premières chimères

Dans nos premiers berceaux d’enfants.

Donc reçois, comme une promesse,

Ce livre où coulent de mes vers

Tous les espoirs de ma jeunesse,

Comme l’eau des lys entr’ouverts !

Reçois ce livre, qui peut-être

Sera muet pour l’avenir,

Mais où tu verras apparaître

Le vague et lointain souvenir

De mon enfance dépensée

Dans un rêve triste ou moqueur,

Fou, car il contient ma pensée,

Chaste, car il contient mon cœur.

Théodore de Banville

Des milliers d’étoiles dans le ciel,

Des milliers d’oiseaux dans les arbres,

Des milliers de fleurs au jardin,

Des milliers d’abeilles sur les fleurs,

Des milliers de coquillages sur les plages,

Des milliers de poissons dans les mers,

Et seulement, seulement une maman.

André Bay

Je voulais, Maman gentille,

T’offrir de belles jonquilles

En un bouquet engageant.

J’ai regardé les boutiques

Mais les prix sont fantastiques

Et ma bourse a peu d’argent!

Alors, au fond de ma tête,

J’ai composé pour ta fête

Un tout petit compliment,

Et je t’offre ce poème

Pour te dire que je t’aime,

Je t’aime bien fort, Maman.

Michel Beau